une balle dans la dette

Créé par le 23 juin 2009 | Dans : Non classé

L’économiste Michel Rogalski constate « la faillite d’un mode de croissance et d’un mode d’accumulation : endetter les gens après les avoir appauvris. » Pour lui, « l’économie d’endettement mise en place depuis 25 ans », rendue nécessaire pour compenser la déflation salariale née de la mise en concurrence mondiale, a mis fin au « compromis implicite qui régnait sur un territoire donné entre travail et capital et qui faisait en sorte que la grosse firme puisse écouler la marchandise produite auprès de consommateurs disposant d’un pouvoir d’achat suffisant. »   contre info

une autre citation…

Créé par le 17 juin 2009 | Dans : Non classé

« Ce qui vivent,ce sont ceux qui luttent »

Victor Hugo

De la creation monetaire.Quand les banquiers pillent les coffres publics

Créé par le 17 juin 2009 | Dans : economie

Dans nos sociétés, la fonction monétaire est en grande partie déléguée aux banques privées. Deux monnaies circulent côte à côte, l’une privée, l’autre publique, sans que nous en ayons en général nettement conscience, tant le passage de l’une à l’autre se fait « naturellement », en temps normal. La monnaie publique, les pièces et billets, ne représente qu’environ un dixième de l’argent en circulation. C’est en raison de son poids si considérable que le secteur bancaire, qui jouit de cette délégation et du même coup du privilège incomparable de se rémunérer sur la création monétaire, a fait l’objet de prudentes réglementations après la crise des années trente. Depuis cette époque, le crédit était encadré, et les banques devaient respecter sous le contrôle des autorités publiques des ratios dits « prudentiels » leur imposant de détenir d’une part des fonds propres en quantité jugée suffisante et d’autre part une réserve sous forme de monnaie d’Etat. Enfin, pour éviter un dangereux mélange des genres, l’activité de banque commerciale (soucieuse de la sécurité de ses clients) et de banque d’affaire (tentant de convaincre des investisseurs d’acquérir son papier) étaient distinctement séparées. Seules les premières, en raison de la délégation monétaire qui leur est accordée et de leur importance systémique, jouissaient de la garantie apportée par l’Etat et la banque centrale. Le big bang de la déréglementation impulsé par les USA dans les années 1990 a bouleversé ce paysage et fait sauter l’un après l’autre les garde-fous prudemment installés par la génération précédente, qui était elle bien décidée à ne jamais plus s’exposer aux désastres entraînés par l’effondrement de l’avant guerre. L’aveuglement idéologique des uns, l’intérêt bien compris des autres – les mêmes, parfois – a permis de rouvrir cette dangereuse boite de pandore dont nous savions pourtant combien morbides étaient les forces qui y étaient emprisonnées. Une fois détruite la muraille de la loi Glass-Steagall qui séparait l’activité de dépôt de celle d’investissement, les banques ont pu se lancer dans des montages financiers irresponsables, abritées qu’elles étaient derrière la certitude que l’Etat leur apporterait sa protection le jour – inévitable – où l’on feindrait de redécouvrir que, décidément non, les arbres n’atteignent jamais le ciel. Comment qualifier un tel comportement ? De pillage, tout simplement, avaient écrit dans les années 1990 deux économistes dont un futur prix Nobel, après avoir analysé la faillite des caisses d’épargne américaines qui venait d’avoir lieu. Un dernier point. Les Etats se sont dessaisis de la fonction régalienne de l’émission monétaire pour s’éviter d’y recourir trop facilement, tant est grande, dit-on, la tentation de se servir dans le pot de confiture lorsqu’il est ouvert. Ce qui n’a pas empêché, depuis 20 ans, de ne jurer que par les mérites de l’auto-régulation du privé et en l’occurrence du secteur bancaire. Ainsi, les parlements, élus par les peuples pour le service du bien public, seraient donc moins responsables que les dirigeants mus par l’appât du gain facile et immédiat ? Voilà à n’en pas douter une jolie fable moderne, dont la morale n’est pas encore entièrement écrite, mais qui s’annonce déjà ruineuse aux dépens de ceux qui l’ont écoutée.Contre info

La nature et les mécanismes de la création monétaire telle qu’elles existent de nos jours sont l’acte fondateur qui permet au capitalisme d’etre aussi puissant.

il ne plus ne fait de doute sur l’effondrement de ce système; reste a savoir sur la gueule de qui il va tomber…..

Et bien tôt aussi chez nous….la crise bancaire…ça va vous faire rire!!!!!

Créé par le 17 juin 2009 | Dans : economie

L’économiste Eric Dor, Directeur de la Recherche à l’IESEG de Lille, fait le le point sur la situation du système bancaire européen, pour lequel il estime que les pertes pourraient s’élever à 1600 milliards de dollars, dont 900 milliards pour la seule zone euro. « Loin d’être moins critique que celle de leurs concurrentes américaines, les banques européennes sont dans une situation assez périlleuse en raison de facteurs structurels qui leur sont particulièrement défavorables, » juge-t-il, en souligant leur « plus forte exposition aux pays émergents » que leurs concurrentes américaines et japonaises, leur retard dans la constatation des pertes, ainsi qu’une « exposition très forte aux actifs toxiques américains. » contre info

Au moment où le gouvernement annonce la reprise de la croissane pour fin 2009 debut 2010 et la fin des ennuies certains economistes voient arriver la 2° vague du tsunami finacier qui touchera plus particulierement l’Europe.

ah! ah! les economistes libéraux,eux aussi s’inquiétes…. pas pour les mêmes raisons….

Créé par le 17 juin 2009 | Dans : economie

Selon un expert de la BCE, les banques européennes ne seraient pas suffisamment capitalisées pour supporter les pertes qui seraient provoquées par une récession longue, en forme de « U ». 25 d’entre elles sont mises sous surveillance par la banque centrale, en raison de leur importance systémique. Pendant ce temps, sur le secteur est-européen, les pertes s’accumulent et les pays baltes sont sur la sellette.

Etonnant non ?

Créé par le 17 juin 2009 | Dans : Non classé

Un sondage réalisé par l’institut Harris en Europe, aux USA, au Japon et en Chine, montre qu’une importante majorité réclame une augmentation de l’impôt pour les plus riches, avec 56% des britanniques, 65% des espagnols, 62% des américains qui sont de cet avis. Les résultats sont encore plus marqués lorsqu’il s’agit d’évaluer le fossé séparant riches et pauvres, jugé trop important par 76% des espagnols, 85% des français et 87% des allemands. voir contre info

Bien sur que ça marche

Créé par le 17 juin 2009 | Dans : Non classé

En Argentine, le mouvement de reprise d’entreprises par leurs salariés, qui avait vu le jour après l’effondrement économique de 2001, connaît un renouveau depuis quelques mois. De nombreux salariés de firmes en faillite ont choisi de se battre et de sauvegarder leur emploi en relançant l’activité sous forme de coopérative ouvrière. Emblème de ce mouvement, le luxueux Hôtel Bauen de Buenos Aires, occupé par ses employés en 2003 après sa fermeture, est aujourd’hui devenu une entreprise rentable qui emploie 150 personnes.     un article de contre info

petite citation de je ne sais plus qui…… à méditer

Créé par le 11 jan 2009 | Dans : Non classé

Les révolutions qui commencent en troupeaux finissent à l’abattoir

une petite réflexion . venez en discuter avec moi

Créé par le 11 jan 2009 | Dans : Non classé

On a déjà assisté au divorce de la population avec la politique et non le politique ; en ce sens que le dialogue est rompu et la confiance perdu avec les politiciens  , qui alternent  pathétiquement au pouvoir depuis  une trentaine d’années ;  cependant  l’intérêt de la population pour la  chose commune restant  intact , bien qu’ étouffé ,  minimisé  , caricaturé par les médias ; les médias justement , parlons- en……. Un certain nombres de signes montrent que le même phénomène  commence a  apparaître à leur endroit.

Le tandem pouvoir média, tout occupé  à ses stratégies de propagandes , ne prend pas en compte la réalité de l’état d’esprit de l’opinion publique  et ne tient pas compte de ses décisions comme pour le non à la nouvelle constitution européenne .  Sûrs de leur coup et convaincus de la réussite de leur plan d’abêtissement, ils ne voient pas la naissance d’un non consentement .

Les cas de divergences entre média et opinion se multiplient, comme le montrent les sondages sur le choix d’envoyer ou non des troupes supplémentaires en Afghanistan ; les experts chouchous ont expliqué qu’une fois passé le traumatisme  de la mort des jeunes soldats, tout le monde serait d’accord pour lutter contre le terrorisme et l’on ne tient pas compte de la majorité de contre dans l’opinion. On constatera que la plus part de ces divergences portent  sur des thèmes essentiels, stratégiques ce qui montre la réalité de la prise de conscience.

Si l’on analyse la manière dont est traitée la crise financière dans les plus grand media, on s’aperçoit qu’a aucun moment , l’impact de la révélation au grand jour des pratiques  de la finance et toutes leurs conséquences ne sont prises en compte. On fait peur avec la crise pour enfoncer le clou des reformes injustes et rien pour modifier le système . La perte de confiance atteint même les cadres et les dirigeants de PME  qui subissant de plus en plus les conséquences de la mondialisation et  qui touchés a leur tour  , attendent en vain les crédits que devaient leur fournir les banques  pour leur éviter la faillite . Malgré l’aide massive de l’état  dans le secteur bancaire , celui-ci ne joue toujours pas son rôle de pilier pour l’économie réelle , a l’heure ou l’on apprend que en dépit des pertes ,les bilan pour l’année en cour dégagent des profits confortables !!!!!!!!!!!!

Maurice Kriegel-Valrimont

Créé par le 11 jan 2009 | Dans : Non classé

Ce qu’il  y a apprendre de Maurice Kriegel Valrimont .

J’ai découvert ce résistant de la première heure dans l’émission      LA BAS SI J’Y SUIS        de Daniel Mermet et c’est François Ruffin qui l’interview ; on peut écouter ce reportage sur le site non officiel de l’émission  las bas . org

L’intérêt de son témoignage va au-delà du simple récit sur la résistance ; il nous parle de ce qui poussé la poignée de premier résistant a s’engager : lutter contre la résignation . Quelle bouffée d’espoir !!!!  et quelle leçon pour nous en ces temps de fatalisme ; et surtout un exemple de la manière de s’engager , de militer .

A la fin du reportage est mis en parallèle les décisions du Conseil National de la Résistance et la situation actuelle ……..On voit bien comment la droite française s’accapare l’héritage de la résistance et le perverti
 

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